La Bourse est rouge écarlate! The CAC 40 fell by nearly 9% in seven days, passing from 6,548 points on June 6 to 5,949 points on June 14 (-1.20%). L’indice parisien a même perdu 17% depuis son plus haut du janvier 7, 2022, à 7,219 points… Dans son silage, les Bourses européennes glissent aussi, ce mardi, le Dax 30 allemand clôture à -0.91% et l ‘Ibex 35 español à -1.43%. Aux Etats-Unis, la chute est encore plus marquee puisque le Dow Jones a même cassé son plus bas du 20 mai à 31,261 points pour clôture à 30,516 points le 13 juin.
Pourquoi une telle chute maintenant? Cela fait plusieurs mois que les analysts financiers nous alertent sur les perspectives économiques sombres qui nous guettent. Entre le Covid-19, l’inflation et la guerre en Ukraine, tous les voyants sont au rouge. Certain economists, like Marc Touati, anticipated already in January the end of the magical silver and a period of remontée des taux.
Des economic projections pessimistics qui devaient obligatorily se faire ressentir dans les cours de Bourse puisque “la valeur d’une share principamente les anticipations de résultats, la vigor de l’économie mondiale et le momentum de marché, [l’aspect psychologique des marchés qui peuvent paniquer]”, says John Plassard, directeur au sein de la Banque Mirabaud. Even today, the end of the war in Ukraine is still far away, the health situation in China is improving with the deconfinement in Shanghai at the beginning of June, and the European Central Bank has officially launched the war against inflation. la conférence de presse du 9 juin. Christine Lagarde, the president, announced a rate hike of 25 basis points, or 0.25% in July to combat the overheated economy. Ces événements auraint dû être accueilles positivement par les Bourses européennes, mais c’est tout l’inverse qui s’est produit.
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Lack of visibility
En réalité, d’après John Plassard, “on n’a aucune certitude! Car lors de la dernière conference de la Réserve federale américaine [début mai]Jerome Powell announced an increase of 0.50% for June or, today, the consensus [des analystes] table sur une hausse de 0.75% [pour la conférence qui aura le 15 juin]”, précis le spécialiste. Une incertitude dans les prochanes de taux qui est aussi entretenue par la Banque centrale européenne puisque Christine Lagarde announced that in September, the rates could increase by 0.50% comme le souhaite le consensus ou de 0.25% fonction de l’évolution de l’inflation. “Le problème c’est que dès que vous prenez une decision qui ne respecte pas le consensus, vous choquez le marché”, warns John Plassard.
If tomorrow, the American Federal Reserve decides not to raise rates by 0.75% or if the ECB announces a 0.25% increase in September, the financial markets could panic and break down again. .
La BCE en retard
The timing of rate hikes constitutes another factor of concern for financial markets. Les perspectives d’inflation en euro zone sont fortes avec + 6.2% attendu pour l’année 2022, + 3.5% en 2023 et + 2.1% en 2024. de la BCE est de maintainer les taux d’inflation aux alentours de 2%.
Face à une situation complexe et pour ne pas paralyser les Etats, Christine Lagarde n’avait pas pris au sérieux la menace de l’inflation, jusqu’à ce qu’elle effectue une rotation à 180 degrés en announcing “une série de hausse de taux très agressive, puisque entre l’inflation et le risque de recession, la fenêtre de tir est extremely mince! Si vous ne montez pas les taux maintenant, vous ne puerges pas les redescendre lors de la next crisis”, estimates John Plassard, before adding: “Il ya d’ailleurs eu un mea culpa aux Etats Unis il ya quelques semaines. La Fed avoué que si elle avait eu une meilleure lecture de l’inflation dès le départ, elle n’aurait pas eu à monter les taux aussi fort”. Des erreurs de taux qui decredibilisent les banques centrales et stressent les marchés.
Que faire maintenant en Bourse?
Pour John Plassard, les marchés ont bien dégonflé et ne télévis pas plonger, même sils sont très sensitives aux annonces des banques centrales. “Nous ne parions pas sur une recessione imminente mais on a une inflation plus élevé que ce que prévoient les mandats des banques centrales et une croissance en décélération”, affirms il.
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Dans ce contexte, les thématiques les plus fiables pour guer à travers les méandres de la Bourse are les sociétés qui ont “un bon pricing power et qui sont historiquement des sociétés de qualité”, confides John Plassard. Parmi ces sociétés qui poignant augmenter leurs prix en fonction de l’inflation et ne pas amputer leurs marges, on compte certaines valeurs du luxe, bien que impactées par la crise sanitaire en Chine, des sociétés petrogazières ou encore le sector des semi-conducteurs. Le directeur au sein de la banque Mirabaud recommande aussi “les sociétés qui vont maintainer ou augmenter leurs dividendes. Pour cela, il faut regarder les vingt dernières années et voir comment elles ont reagi aux précedes crises”.